La Shri Ram Chandra Mission n'est pas la seule organisation à proposer des méthodes de méditation. La transmission dont elle est si fière se traduit souvent par un asservissement qui fait perdre tout repère et isole inéluctablement l'individu de son environnement.
La Shri Ram Chandra Mission a été classée comme secte dans un rapport parlementaire français. Avant d'adhérer, informez vous !

439 articles – 3449 commentaires – Dernier ajout le 9/09/2017

“Take criticism seriously, without anger or sadness. Use it for correcting yourself, and welcome it.”
Kamlesh Patel (1/04/2015)

16 mars 2006

La transmission ne s'opère plus... (la suite)

Bonjour à tous, je continue mon analyse.
1 + 1 = 0 : l'importance pratique d'une attitude d'aspiration
Des abhyasis "narcissiques et égocentriques, voire arrogants"

Chaque voie spirituelle génère des caractéristiques spécifiques dans la condition de ses pratiquants. Au Sahaj Marg, les pratiquants sont terriblement narcissiques et égocentriques, voire arrogants. Parfois, cette tendance est tellement exacerbée et tellement généralisée qu’on peut même s’interroger sur leur santé mentale. Aborder ce point n’a pas pour but de blesser quiconque mais d’ouvrir la réflexion. Je me suis moi-même trouvé dans cette dynamique mentale et je m’étais vraiment interrogé sur les causes d’un tel état. Avouez que c’est stupéfiant, puisque la méthode est censée conduire à l’oubli de soi.

Face à une telle observation, plusieurs questions se posent. Les pratiquants viennent-ils là pour eux-mêmes ? L’institution les guide-t-elle dans la bonne direction ? La cause est-elle le travail du Maître et le nettoyage des samskaras, comme on l’entend dire sans arrêt ? Et s’il existait aussi des raisons structurales, inhérentes à l’organisation de la vie dans la mission ?

Et des pratiques institutionnalisées
En effet, on peut se demander si le Sahaj Marg ne pousse pas les abhyasis dans une direction "moimoimoi" à cause d’un faisceau implicite et convergeant d’éléments, tels que :
des pratiques institutionnalisées (tenue du journal, travail sur le caractère, méditation (orientation de l’attention vers le bas/moi/cœur), nettoyage (sentiment de moi faisant le nettoyage), etc.)
des idées véhiculées par le dogme ambiant (mon évolution, mes samskaras, mes pensées, mon mental, mon ego, ma culpabilité, ma pratique, ma condition, mon Maître, ma mission, etc.)
la dynamique du groupe (regard de l’autre, jugement du précepteur, ou jugement imaginé par l’abhyasi, discussions, rapport au Maître, etc.)
le développement de la sensitivité suite aux pratiques (attention à son ressenti et à soi)

Si tel était le cas, il faudrait en conclure que le risque est élevé, pour tout pratiquant, d’être diverti du but par l’organisation et les pratiques, impliquant que certaines choses devraient être repensées. Il y a un problème plus fondamental auquel je veux arriver : que cette défaillance structurelle ne soit pas compensée par l’enseignement théorique dispensé, au contraire utilisé pour justifier cette défaillance alors qu’il devrait pointer du doigt le danger et alerter les candidats. Mais pour cela faudrait-il encore que les cadres du SM, qui véhiculent cet enseignement, prennent la peine de mener une réflexion sur la situation. Je ne jette toutefois la pierre à personne, car peut-on encore sentir autre chose lorsqu’on a le nez dedans ?

La solution : une attitude d'aspiration
Il existe une solution tellement simple au problème pris comme illustration : aider les aspirants à développer une attitude d’aspiration, pourtant décrite abondamment dans la littérature (souvenir constant, prière, attitude suppliante, sentiment d’humilité, abandon de soi, etc.), et jugée comme éssentielle par les Maîtres. Aspirer au divin ne résulte-t-il pas obligatoirement en l’oubli de soi ? Comme l’attitude de respect, l’attitude d’aspiration est indispensable : qui l’avait noté ?

Voici donc un deuxième exemple qui illustre ce dévoiement du système et de l’enseignement. Il montre que les problèmes sont complexes et subtils. Ils ne seront jamais résolus par une confiance naive amalgamant foi et irresponsabilité. Au contraire, les choses iront de mal en pis. Il est donc temps de mener une réflexion sérieuse pour retrouver la simplicité de l’essentiel et se débarrasser de l’activisme mégalomaniaque de la mission, qui n’est là que pour donner une impression de succès. Ne nous voilons pas la face : l’échec est fondamental et se mesure à la productivité spirituelle du mouvement.

Christian

9 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour à toutes et tous,
Vos interventions ce mois ci vont toutes dans le même sens. La dérive financière de la SRCM cacherait des problèmes de fonds beaucoup plus graves (irrémédiables ?).
D'abord c'est dur à avaler et je comprends la réaction d'Elodie, mais nos échanges m'aident beaucoup à réfléchir et je pense de plus en plus que vous devez avoir raison. Le constat est accablant, et si il est vrai ça expliquerait bien des choses.
Cela dit, c'est très déstabilisant et il y a quand même des choses positives. Par exemple, je ne peux pas reprocher à Chariji d'être venu nous voir en Europe. C'est grâce à lui que nous avons découvert le Sahaj Marg.
On ne peut pas tout jeter, il faut faire la part des choses et aujourd'hui je suis complètement perdue !
Je crois que j'ai besoin d'un peu de temps pour faire le point.
Fraternellement
Krys
PS pour Inès : pour notre lettre, c'est de plus en plus mal parti... les autres tergiversent

Christian a dit…

Totalement d'accord avec toi, Krys. J'ai vécu grâce au SM les plus beaux jours de ma vie et je suis très reconnaissant à Chariji qu'il m'ait accepté comme un de ses étudiants. Le problème est que cette chance fabuleuse a été complètement détruite avec la structuration de la mission par une bande de vieux teigneux. Je ne peux m'empêcher de percevoir le corps de la mission comme une enveloppe grossière à faire sauter lors d'un sitting!! Des années que je dis que le SM devrait prendre des sittings! :-)

Christian

4d-Don a dit…

Bonjours a tous/toutes voyageurs spirituels (Vous pouvez corriger mon orthographe)

Merci pour votre courage

Si je mange chez MacDonald, je devient malade. Si je recoit une ‘transmission’ d’un nationaliste, materialiste, qui me demande une attitude d’obeissance bordant sur l’idolatrie, je ne deviendrai pas plus spirituel, mais plus materiel. C’est ca l’arrongance, le narcissisme et l’egoisme que l’on voit chez les disciples de Chari. Babuji en a donne garde de choisir un Maitre qui est lui-meme spirituel. Chari, un gerant de moulin, dit lui-meme, ne pas etre Maitre pour la spiritualite. Lalaji a enseigne que l’argent doit etre au service des moins fortunes. Les adeptes du Sahaj Marg que je connais ne sont pas des ‘intellectuels’ et sont plutot des ‘suivants obeissants’ ou des ‘morts vivants’ volontaires et pas tres forts emotionnellement, alors, leurs relation avec un Maitre, est une de dependance, et comme toutes relations co-dependantes, leur relation avec le Shri Ram Chandra Mission et Chari, conduit a l’abus des adeptes. Si l’abus est la sur le plan financier, ce n’est pas la fin.

L’idolatrie, tel que le Sahaj Marg, sous Chari, a ete rejette par toutes societes modernes, car le cout de l’dolatrie est trop dispendieux. L’idolatrie conduit a l’abus, a la division, et finalement au criminel (la guerre). Il ne faut pas s’agenouiller devant un homme comme a Dieu, ni voyager aux Indes, ou a Jerusalem pour chercher Dieu. Le Divin est partout, meme en montagnes Suisses, ou dans le coeur de nos familles et des nos enfants, et non seulement dans les yeux et le coeur des Maitres Indous, Le voyage spirituel est un voyage interieur. Si l’on y trouve un desert, ce n’est pas par y introduisant un homme materialiste Indous que notre desert va changer et devenir fertile. Demandez aux familles des adeptes du Sahaj Marg qui on perdu leur epouses, leur amis ou leurs enfants au Sahaj Marg.. Les adeptes du Sahaj Marg veulent que Chari remplisse leur desert interieur, et il ne peut pas. Il n’est pas un Maitre spirituel. Il faut lui pardonner et chercher Dieu dans notre coeur, comme l’a dit tous les Maitre de toutes religions, Babuji, Jesus, Buddha, Krishnamurti, Kirpal Singh, Pontiac, et meme les grands de l’Europe comme Thomas d’Aquin, Soeur Therese etc…

Les religions des “old boys networks” ne peuvent pas survivre sans la participation et le financement des ‘serfs’, qui, au Sahaj Marg sont, pour la plupart des femmes. Les femmes aux Indes essayent de se debarasser des ces ‘hommes-dieu’ et maintenant ces imperialistes ont trouve un terrain fertile en occident. Ces femmes Indous refusent d’etre ‘boucles emissaires’ et de donner leur enfants a un gerant d’industrie qui dit ne pas etre un Maitre pour la spiritualite. Pour quoi alors? Debout, femmes Suisses, Francaises, Europeennes. Dieu parle francais, allemand et suisse aussi. Vous etes ‘pratiquantes’ de spiritualite, vous n’etes pas des ‘abhyasis’. Et votre voyage va continuer apres le Sahaj Marg. Le Sahaj Marg est devenu comme le MacDonald: imperialiste, et elitiste, et vous rendra malade, vous, vos familles et votre societe.

Le Shri Ram Chandra Mission a ete conquerit par Chari, son pere (qui aussi se croyait Maitre, sans respect envers Babuji) et leurs amis et confreres Brahmin. Il faut soit continuer a les financer ou les rejetter. Ils font parti d’un mouvement econo-nationaliste avec des tenticules dans toutes les aspect de la vie Indous. On a perdu le “Shri Ram Chandra Mission” comme le Professeur Dr.Varadachari et la famille Ram Chandra. Mais, a l’ecole de la vie, on n’a pas perdu les lecons et les intentions du Sahaj Marg, de Lalaji et Babuji. Il faut retourner notre amour vers nos familles, nos amis, nos cultures, et notre environment et nos pauvres et malades et commencer a rectifier les inegalites dans notre societes et notre planete. Il faut retirer notre amour et notre dependance sur Chari et son successeur, qui sera probablement Mr Rao, banquier a la retraite,ou un autre ‘homme d’affaires’ Brahmin, et leur pardonner leurs confusion. Ils nous abusent parce que nous les encourageons avec notre argent, notre devotion et notre ‘idolatrie”. Ils ne savent pas ce qu’ils font aux coeurs de leurs disciples et aux coeurs des familles des adeptes du Sahaj Marg, et a l’atmosphere spirituelle, emotionelle, et materielle (politique) de leur, et notre planete.

Je suis un ex-pratiquant du Sahaj Marg et un ex-catholique. Je m’en suis sauve et je suis LIBRE et VIVANT comme Dieu m’a cree. Parfois heureux, et parfois triste, mais je suis toujours DEBOUT face a Dieu. . Au moins, jusqu’a ma mort…..

4d-don.

Christian a dit…

Le travail sur le caractère : Mort de rire !

Pour commencer, la terminologie semble inexacte, puisque ce n’est pas un travail sur le caractère qui doit être réalisé, mais un travail sur les attitudes. Le caractère ne peut être changé, alors que les attitudes oui. Du changement d’attitude découle immédiatement un changement de condition. Aussi, il est important de prendre conscience de ses attitudes et des mécanismes personnels qui les influencent, pour mettre en place de nouvelles habitudes et ne plus s’en soucier. Les maximes devraient être expérimentées dans cette direction. D’ailleurs, l’une d’elles pointe aussi du doigt l’importance de développer des attitudes qui induisent naturellement de la spiritualité en l’autre, preuve qu’un être spirituel n’est pas une créature autiste uniquement préoccuppée par elle-même, mais est positivement intégrée socialement.

La manière dont les choses sont présentées au SM concernant ce « travail sur le caractère » ressemblerait presque à un travail psychologique. Or, en l’absence d’une méthodologie véritable, et en l’absence d’une aide professionnelle extérieure à soi pour briser sa propre subjectivité, je me demande toujours comment on peut faire autre chose que du nombrilisme, ou autre chose que de s’enfermer toujours plus en soi-même. Ne serait-ce que le simple examen des postulats théoriques qui fondent le « travail sur le caractère » selon le SM, et la dimension égocentrique de cette démarche saute aux yeux :
Tout ce qui nous arrive pointe du doigt un aspect de notre nombril – qu’il faut s’attacher à réformer en commençant par une « prise de conscience ».
Tout ce que l’on perçoit, surtout si c’est un point négatif, est de la projection. Psychologie à 2 balles.
Il n’y a aucun problème à l’extérieur, jamais, car tout ce qui est à l’extérieur est à l’intérieur.

Aussi, l’expression de toute critique, surtout si elle concerne le SM, entraîne les bons conseils de nos « frères et sœurs » (formatage par le groupe), afin de réorienter notre attention vers nous-mêmes pour comprendre pourquoi cela nous fait réagir (autoformatage) – en vérité aussi, pour détourner notre attention des problèmes réels. Cette logique débile en arrange plus d’un, bien sûr, car elle a aussi l’avantage de permettre aux plus délirants de ne jamais être remis en cause dans leur pratique du pouvoir sur autrui.

Une parenthèse sur l’usage institutionnalisé, vomitif, creux et hypocrite, de la terminologie « frères et sœurs » : « J’appelle en général les membres de la Mission « frères et sœurs », mais je pense que ce n’est pas tout à fait approprié. Je devrais employer des mots tels que « mon cœur » ou « mon âme » (…) » - Babuji, Œuvres complètes t2, p.149, éd. de 1993.
Vous vous rendez compte du sens réel ?

Expliquez-moi comment se regarder le nombril 24h/24 a-t-il jamais aidé quelqu’un à progresser spirituellement ou à transformer son caractère ? Par contre, faire un VRAI travail avec une VRAIE méthodologie et un VRAI professionnel serait préférable. Toutefois, les abhyasis reçoivent la consigne de ne pas suivre une autre « voie » - comme si d’aller chez le médecin était une voie -, et lorsqu’ils le font, ils peuvent subir des pressions de la part des précepteurs, visant à les faire abandonner leur démarche parallèle. La raison, tout à fait compréhensible, est qu’en cas de décompensation, la mission ne veut pas être tenue pour responsable. Bonne foi, mauvaise foi ? Mon cœur balance. L’argument est valable et à considérer, mais le fait qu’il soit valable offre aussi une bonne excuse (par exemple, pourquoi ne pas faire signer une décharge légale ?). Je ne peux qu’inciter les abhyasis, qui sont aussi des individus adultes, à avoir foi en le Maître et à désobéir courageusement. C’est leur vie et ils n’en ont qu’une. Avec la méthode de « travail sur le caractère » suivie au Sahaj Marg, non seulement ils perdent leur temps inutilement, mais aussi, ils se détraquent mentalement chaque jour un peu plus.

D’ailleurs, puisque le Sahaj Marg regorge de psys, pourquoi ces gens n’influencent-ils pas le débat plus en profondeur ? Sont-ce des charlatans, ou sont-ils hallucinés par leur idéologie ?

Pour développer correctement les attitudes, il peut être nécessaire à certaines personnes de résorber d’abord des aspects psychologiques problématiques, et seul un pro valable peut les aider dans ce sens. Les en empêcher est criminel.

Évidemment, l’intelligentsia a aussi peur que l’individu regagne le contrôle de lui-même en prenant conscience du mensonge, celui qu’il se raconte aussi bien que celui qu’on lui raconte. Dans le premier cas, il pourrait découvrir que sa quête n’est pas spirituelle et quitter la mission : très bien. Dans le deuxième cas, il pourrait causer des remous dans la mare aux canards. Personne n’aime côtoyer les casses-délires, et ils sont plus d’un à en avoir fait les frais.

Or, si tout allait bien au SM, les discours du Maître auraient une autre coloration. Mais encore une fois, vu la forme qui a été donnée à la mission sous son impulsion, comment les choses pourraient-elles aller bien ? Il y a de quoi être aigri par son propre échec, qui est aussi le notre.

Christian

Christian a dit…

Salut 4d-don,

Tu fais partie des centaines, sinon milliers, d'abhyasis désabusés qui ont choisi de quitter la mission face à la tournure que prenaient les choses.
Il y avait d'autres options, aussi.

Tous ces problèmes sont des interférences humaines dont il faut nettoyer le SM, absolument, pour l'avenir. Car l'enseignement de Lalaji et de Babuji n'est pas mort, et grâce à Chariji, il n'est pas resté au pieds des Himalayas. Tu peux au moins lui accorder ça, et c'est ce qu'il avait promis de faire à Babuji.

Christian

Vincent a dit…

Bonjour à tous
C'est Alexis qui m'a parlé de votre blog. Vous êtes ma seule lueur d'espoir. Toute ma famille est entrée dans votre organisation et je crains pour mes petits enfants.
Vos discussions me redonnent un tout petit espoir. Peut-être que mes enfants se poseront un jour des questions.
Je n'osais plus y croire mais vous nous prouvez que c'est encore possible.
J'ai trouvé l'idée d'Elodie tellement bonne que je l'ai recopié. Vous trouverez mon histoire sur http://lesahajmargadetruitmafamille.blogspot.com
Bonne continuation
Vincent

Christian a dit…

Bonjour Vincent,

merci pour votre témoignage. Honte à nous, vraiment!

J'espère aider les gens à refléchir un peu avec ces quelques textes, sachant parfaitement que tout le monde n'en a pas la capacité, et que cela est d'autant plus difficile, même en ayant les outils mentaux pour le faire, lorsqu'on est pris dans un système humain comme le Sahaj Marg et dans le système de croyances doctrinaires qui s'est peu à peu constitué sur l'enseignement initial.

Je pense que vous avez compris que tout n'est pas tout blanc ou tout noir.
Il y a à la base un enseignement véritable et précieux.

C'est bien pour ça que vos regards extérieurs sont essentiels, car vous comprendrez mieux en ayant lu ma dernière analyse pourquoi aussi peu de voix s'élèvent de l'intérieur.

Ce n'est pas parce que les gens sont tous aveugles ou que personne ne se pose de questions, mais c'est parce que différents mécanismes font qu'il est impossible de se faire entendre.
Il y a aussi, comme dans toute organisation humaine, des vipères et des scorpions qui ont su se hisser au sommet de l'état, et qui sont en charge de répandre et faire respecter la doctrine. Leur impact est désastreux. Ce sont pourtant des gens sincères, au service du Maître, donc pas de soucis diront certains...

Bon courage - Christian

Anonyme a dit…

coucou tt monde super...
moi jsuis allé a vrads ca ma couté 50€ le seminaire...
jsuis francais rmiste et le SM ne me prends pas mon argent.. c plutot moi qui lui prend le sien.. vous voyez que largent ne part pas tout en idne et que les moins fortunés en reçoivent...
c pour cela que largent ne devrait pas etre un barrage a la spiritualité... c'esst ce que dit chariji et je l'en remercie...

de plus en 2004 g squatté 5 semaine a manapakam et on ne ma pas demandé 1 euro... merci chari...
en inde ya 5 ashram qui nourrissent et logent gratuitement des abhyasis... c'est de l'humanitaire et c'est quce qui confirme que l'argent ne doit pas etre une barriere a la spiritualité...
honnetement entre vous et moi... je prefere ma position d'occidental avec mes avantages sociaux en france que d'etre un pauvre indiens la bas...

cordialement,

mathias

Anonyme a dit…

pourkoi as tu choisi de valider les messages? pour la censure? lol
tu cautionne ton blog en exprimant le faite que ce soit un lieu d'echange... pk en limité les commentaire... tu vois que tu n'es pas tres clair avec tout cela... looooooool

laisse nous libre de nous exprimer... lol

mathias