La Shri Ram Chandra Mission n'est pas la seule organisation à proposer des méthodes de méditation. La transmission dont elle est si fière se traduit souvent par un asservissement qui fait perdre tout repère et isole inéluctablement l'individu de son environnement.
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439 articles – 3449 commentaires – Dernier ajout le 9/09/2017

“Take criticism seriously, without anger or sadness. Use it for correcting yourself, and welcome it.”
Kamlesh Patel (1/04/2015)

5 février 2013

Un conte parabolique


Parce que l'on n'arrive pas à convaincre les abhyasis par la raison, ce conte parabolique de Nobello touchera peut-être leur coeur.

Le Piège du « piège de l’ego »


Un ouvrier possède un marteau.
Ce marteau était dans sa main à sa naissance et il y est toujours depuis, quoi qu’il fasse et même lorsqu’il dort .
Il a donc appris à s’en servir avec habileté. Avec ce marteau très utile -et d’autres outils-, il s’est construit un lit, puis un abri confortable au-dessus.
Il l’a aussi essayé contre la vitre d’un voisin, et il sait depuis que l’utiliser n’importe comment n’est pas toujours profitable.

Je suis l’ouvrier, mon marteau est mon ego.


Depuis longtemps, j’ai très envie de faire de belles calligraphies.
Avec mon marteau - et d’autres outils -, je construis un pupitre et un banc, puis j’achète les pinceaux, l’encre et le papier nécessaires.

Satisfait de mes préparatifs, je trace ma première calligraphie : elle est sans grâce, tracée avec maladresse.
Alors je recommence, et je recommence encore, espérant m’améliorer : j’éprouve un vif désir de calligraphier, d’exprimer « Ça » de moi, mais je ne peux pas le faire dans ma vie d’ouvrier.

À force d’essayer en vain, je suppose tristement que je ne suis pas doué, et que ne parviendrai pas à cette grâce qui me touche dans les œuvres de certains calligraphes.


Passe alors monsieur Gopalachari qui s’arrête, m’envisage et me dit :

« Mon frère, j’ai pitié que tu sois triste de calligraphier si mal...
Je suis justement Le Seul Maître Calligraphe détenteur des secrets de la Calligraphie Ultime.
Tu es destiné à devenir toi aussi un Maître - je le Sais -, et je veux t’en révéler les secrets.
Mais tu dois t’engager avec moi sur ce Chemin de Lumière en abandonnant tout autre intérêt, toute curiosité, tout raisonnement, toute logique jusqu’au but que nous nous sommes fixé : rien ne doit plus compter sauf la Parole du Maître Calligraphe, qui te conduira sûrement où il doit t’amener. Tout ce que tu éprouves d’Amour doit être exclusivement réservé à la Calligraphie Ultime, donc à ton Maître qui la détient et va te la partager.
Un jour. Peut-être, si tu as fait tout ce qu’il faut sans faiblir.
Et ne t’étonne pas de t’étonner parfois de mes comportements : c’est normal car tu n’es pas un Maître et tu ne peux pas comprendre ce qui motive un Maître. Fais-moi confiance et ça suffira : je m’occupe de tout le reste.
Tu trouveras une extraordinaire Liberté dans cette obéissance, et tu seras peut-être récompensé de tes efforts sincères qui te vaudront d’ici là une sérénité bienheureuse.
Mais tu ne dois même pas attendre cette récompense, tu ne dois pas t’impatienter, juste obéir exactement à ce que ton Maître ordonnera. Sinon, PAS de sérénité pendant, et rien au Bout.
Si tu trahis ma Foi en toi en trahissant ta parole, je ne pourrai plus rien pour toi : tu retomberas dans une détresse encore plus profonde que celle d’où je te tire fraternellement. »


Monsieur Gopalachari semble très sincère, pas homme à plaisanter avec la Lithographie Ultime. Et je voudrais tellement savoir tracer des calligraphies émouvantes...

Alors j’accepte la proposition et il devient mon Maître Incontestable, que je sers sincèrement dans son généreux projet. Je sors de mon existence tout ce qui n’avait pas de rapport direct avec l’apprentissage de la Calligraphie Ultime, et je fais sans discuter tout ce qu’il m’indique.

Pour être sûr que je ne vais pas m’égarer pendant qu’il ne regarde pas, mon Maître veut tout savoir de ma vie. Ça lui permet de me conseiller utilement afin que j’évite les vanités qui pourraient allonger mon apprentissage.
Comme je ne sais pas encore très bien combien de temps ça doit durer, je fais très attention à ne pas chercher à comprendre, soucieux de ne pas le trahir en me trahissant moi-même : je ne veux pas m’interdire à jamais la Calligraphie Ultime.

Devant mes bonnes dispositions, mon Maître m’engage à essayer de tracer une belle calligraphie.
J’essaie, certain que je n’y parviendrai pas plus qu’avant mais confiant en mon Maître. Mon geste est toujours aussi malhabile, mais je veux croire que mon Maître sait ce qu’il demande, et qu’il sait pourquoi.
Il s’approche de moi en souriant et... d’un mouvement familier qui ne lui demande aucun effort, soulage un peu le poids de mon marteau dans ma main qui tient le pinceau, celle avec laquelle je tiens mon marteau depuis toujours. C’est celle dont je me sers le mieux.

C’est extraordinaire : ce simple geste de mon Maître a rendu spontanément mon propre geste plus fluide, mon trait plus sûr et plus harmonieux.
Monsieur Gopalachari est ce qu’il affirme, mon expérience le confirme : il est le Maître que je cherchais sans le savoir, venu m’Enseigner parce qu’il avait ressenti mon besoin.


Mon Maître m’a fait ma place dans l’un de ses ateliers. D’autres apprentis-calligraphes y sont  apprentis comme moi mais depuis beaucoup plus longtemps parce qu’ils ne parviennent pas à se débarrasser vraiment de leur marteau, malgré ses précieux conseils.
Ils le nomment affectueusement « mon Chari-Chéri » et cherchent à capter son Regard tout en observant leurs propres pieds (on a aussi droit au nombril) ou ceux de leurs voisins, ce qui n’est pas simple.
Surtout lorsqu’on calligraphie. Et plus encore lorsqu’on calligraphie maladroitement.

Notre Maître nous le dit souvent, pourtant :
« Le marteau, le marteau ! Vous n’avez pas assez confiance en votre Maître qui vous aime d’une tendresse lasse et vous ne brûlez pas le marteau ainsi qu’il vous le demande pour votre bien. Vous le jetez loin de vous, puis vous allez le rechercher en douce sitôt que j’ai le dos tourné ; vous n’aimez pas assez votre Maître pour lui accorder cette confiance, pour lui faire vraiment ce cadeau. Et je suis triste parce que vous n’avancez pas assez vite vers la Maîtrise, parce que vous ne me faites pas confiance. »

Parfois, je suis triste aussi. Alors mon Maître sourit avec indulgence, et vient auprès de moi, à ma place dans son atelier, y répéter encore une fois le geste sauveur par lequel je deviens calligraphe et sans lequel je sais ne pas l’être.

Mon Maître a brûlé mon pupitre parce qu’il m’a offert le meilleur pupitre possible, dont sa maîtrise Parfaite lui a inspiré le modèle. La preuve : nous avons tous le même.
J’ai détruit devant lui mon petit détecteur de mensonges car mon Maître m’a expliqué ce que notre objectif Ultime exige de Lui et que je ne peux pas comprendre encore. Ce bricolage grossier est inutile, il ne saurait pas discerner ça.

Nous savons tous que nos lits et nos toits ne sont qu’un - important ! - terrain d’entraînement à ce qui se joue vraiment.
Lorsque je ne dors pas dans un coin de l’Atelier parce que la fatigue me dissuade de rentrer chez moi, je me concentre sur mon Art dans mon lit jusqu’au sommeil. Ma compagne râle parce qu’elle ne comprend rien à la Calligraphie Ultime, mais je reste concentré.

De toutes façons, ma compagne est partie, je n’ai pas très bien su quand : un soir, j’ai regardé à sa place et elle n’était plus dans mon lit.
Je n’y dors pas encore très bien, à cause des mauvaises habitudes prises avant que mon Maître ne m’aide à y mettre l’ordre Nécessaire.
J’ai ôté une tuile sur deux du toit afin que la lumière éclaire ce lit, et j’ai honte car cette lumière suscitée sur ma couche par mon Maître disparaît sitôt que la nuit vient avec le moment du coucher, et que les rhumes successifs me font redouter les averses nocturnes.
Alors je retourne dormir à l’Atelier, avec mauvaise conscience.

À cause de la mauvaise conscience, plusieurs d’entre nous ont voulu diminuer le poids de leur marteau en sciant, limant, râpant, cassant, ôtant l’une ou l’autre part de l’outil maudit. Mais ils se font scier pour pas grand-chose.

Mon Maître a raison : momentanément convaincus par les doux reproches qu’il oppose à nos craintes héritées d’habitudes moisies, beaucoup d’entre nous ont déjà projeté leur maudit marteau loin d’eux, parvenant même à le lâcher complètement.

Je l’ai fait moi-même dix-sept fois.
En le surveillant du coin de l’œil aussi longtemps que j’en étais séparé et finir, gêné, par aller le chercher avec soulagement.
Mon Maître a toujours raison : avec mon seul œil encore disponible et ma main libre, je suis parvenu à tracer des calligraphies que j’aurais dit d’un Autre. Ou presque.
À un œil-en-coin près, sans doute.  

Notre Maître est toujours soucieux de notre progression. Il a Créé un dispositif qui prend appui sur ma main, et libère tous mes doigts de leur prise sur mon marteau, leur autorisant une extraordinaire tenue du pinceau.
Bien sûr, le poids du dispositif fatigue le bras plus vite et ça génère des crampes douloureuses.
Mais avec tout ce qu’Il fait déjà pour nous, j’aurais honte de m’en plaindre auprès de Lui...

Devant ses soupirs, j’ai abandonné les motifs dispersants que j’aimais tracer avant de comprendre qu’Il a raison, là encore. Son Indulgence m’a laissé m’y égarer autant que nécessaire, sans jamais m’ordonner sa Loi avant que je ne l’agrée moi-même.

Mon Maître m’a regardé brûler mes œuvres vaines, et je me suis immergé avec passion dans la calligraphie du Motif Ultime offert par mon Bienfaiteur. Satisfait, Notre Maître est retourné à son Atelier Principal d’où il lui est plus facile d’entretenir la Pureté de son Art afin qu’elle continue d’imprégner tous ses ateliers en son absence.

Le Maître a Honoré l’un des apprentis par les Attributs Sacrés qui attestent de l’Autorité Calligraphique, et aussi de l’échange constant que ce bienheureux peut - Doit ! - entretenir avec le Maître. Le Stylo et le Téléphone Consacrés lui permettent de joindre immédiatement le Maître au travers d’autres honorés-apprentis dépositaires de la part de Son Esprit  nécessaire à toute réponse concernant un problème calligraphique.
Évoquer un problème d’un autre ordre est un déni de l’Enseignement dispensé, qui chagrine mon Maître. Ma vie est devenue plus simple, et c’est reposant.


Je n’ai encore vu aucun apprenti se débarrasser définitivement de son marteau.

Certains l’auraient fait mais notre Maître reste évasif, ajoutant avec indulgence :
« ... Presque fait. ».
Après, il nous rassure en nous confirmant qu’ils s’en sont quand même mieux débarrassés que nous, mais que ça les engage à une conscience plus nette de leur humilité reconnaissante à son égard. Certains y manquent parfois, et ça l’attriste.
Je me demande quel Orgueil destructeur pourrait conduire l’un d’entre nous à un Déni si déplacé, même si j’en soupçonne quelques-uns de profiter de l’Indulgence de mon Maître.

Lorsque j’ai honte de ces pensées-ci, pas encore assez fraternelles pour mériter tout son Amour, je me repose en ma confiance : le Maître Sait.

Ma honte et les générosités de mon Maître en termes d’Art, de conseils de vie, de compagnie calligraphique et d’hébergement à peine tarifé, tout me fait à peser ma chance à son poids  : hors les Ateliers de mon Maître règnent le trouble et l’ennui, la douleur et les vanités.

Le Maître m’en a extrait, et je sais ce que signifierait de me parjurer contre ma Foi en cédant à ces vanités. Il n’y a plus personne pour m’attendre en vain dans ma vie d’ouvrier, je serais tenu de restituer au Maître ce qui lui appartient, et l’absence du Dispositif m’interdirait toute prétention à une calligraphie harmonieuse.
Il m’y faudrait un nouveau pupitre, pour lequel je devrais encore me soumettre à ce maudit marteau qui refuse de me quitter, j’y retrouverais un lit inconfortable et un sommeil troublé, les rhumes reviendraient, j’y serais isolé parmi les malheureux endormis qui n’ont que faire d’une calligraphie sincère, et tant d’autres désagréments dont je dois remercier mon Maître de me les épargner.


L’autre jour, je regardais vers une fenêtre déconseillée par le Maître lorsque j’ai vu devant, de l’autre côté, un très jeune homme qui souriait.
Les rouleaux de papier dans ses bras m’intriguaient, j’ai pensé qu’il pouvait être l’un des nôtres, un « nouveau » encore enfermé dehors. Comme il me souriait, j’ai souri aussi et je suis allé ouvrir la fenêtre.

- « Vous êtes Apprenti-Calligraphe, vous aussi ? »

- « Non, je suis berger. Mais j’adore la calligraphie : regardez, celles-ci m’ont été demandées par mon Père et je les lui porte afin qu’il les aime. En passant par ici, quelqu’un m’a dit que s’y trouvait un très grand calligraphe dont j’ignorais tout, alors je... »

Il n’a pas pu aller plus loin car l’Honoré, gardien des Nécessités de notre apprentissage, venait de fermer la fenêtre. Sans un regard mais avec un bon sourire : sa compassion était venue me secourir dans l’égarement.
Pour la forme, il m’a rappelé avec une fraternelle indulgence les préceptes définitifs concernant l’ouverture de portes et fenêtres aux forcément mauvais calligraphes, de crainte d’y polluer un apprentissage vacillant.

Sa fraternelle condescendance était un peu superflue, mais il avait raison. Cette preuve que l’Esprit du Maître veille sur moi où qu’Il soit m’a confirmé encore le discernement de notre Guide.

Plus tard, le jeune berger-calligraphe est revenu.
En souriant derrière la vitre, il faisait des signes amicaux dans ma direction. J’ai compris qu’il aurait bien voulu que j’ouvre encore la fenêtre, mais je ne voulais pas peiner mon Maître par une autre erreur : je lui ai poliment exprimé mon refus en tournant la tête de l’autre côté.

Lorsque, lassé du mur, j’ai osé regarder vers la fenêtre où le berger-calligraphe souriait toujours, l’une de ses mains tenait une feuille inégale plaquée contre la vitre alors que l’autre accompagnait la Danse fluide d’un calame de roseau mal taillé. Il en trempait l’extrémité dans la boue du chemin qui maculait ses mauvais souliers, accomplissant pour moi l’une des Calligraphies les plus émouvantes, les plus belles que j’ai vues, telles que doivent être celles que mon Maître qui les traça détient dans un temple secret.
Celle-ci était toute de simplicité et chargée de généreuse puissance, semblant déborder de joie pure, contagieuse.

Souriant encore plus, il a posé cette merveille sur le sol poussiéreux, me faisant signe qu’il me l’offrait pourvu que je la ramasse, et m’a montré ses mains libres de marteau et exemptes de dispositif , les agitant ainsi que volettent les papillons avant de les soustraire à mon regard.
Lorsqu’elles reparurent derrière la vitre que son sourire n’avait pas quitté, l’une tenait son marteau et l’autre ses pinceaux. Un instant plus tard, elles étaient libres pour le salut qu’il fit en reprenant son chemin.

L’Honoré a été particulièrement fraternel et condescendant envers moi parce que beaucoup d’autres apprentis avaient tout vu, et il a muré la fenêtre.  


Depuis, je n’ose pas trop me poser la question.
Comment un berger-calligraphe si jeune peut-il n’avoir jamais son marteau à la main et pas même l’œil en coin ?   
   
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Alors non, vraiment, monsieur Gopalachari n’a rien d’un Maître convaincant.

Et l’alibi qui l’autorise à ne jamais tenir son improbable Promesse n’est rien d’autre qu’un bobard inacceptable.
Étrange affirmation, vraiment, selon laquelle l’outil puissant qu’est mon ego devrait être « intégralement consumé » avant que je puisse prétendre à l’un ou l’autre Éveil, alors qu’il peut aussi sûrement aider à autre chose, et que j’ai les poches larges et le sommeil léger...

Cet homme n’est pas un Guide convaincant :  il n’y pas de place pour l’humour – celui qui rapproche : l’humour-d’Amour, pas l’ironie sournoise – dans son « Enseignement ».

Soyons raisonnables ensemble :
Même rebaptisé « Aspiration », y a-t-il un désir plus ambitieux que de prétendre à intégrer le Divin ?

Pourquoi un homme devenu « sans ego » s’y obstinerait-il ?

Y a-t-il plus cynique que de prétendre qu’un homme qui marche est encombré de ses bras au point d’en considérer l’amputation comme un recours ?

Lorsqu’on pointe du doigt de telles âneries en les approuvant, c’est qu’on va rapidement avoir mal à l’œil...

Nobello 

8 commentaires:

Alexis a dit…

Salut Nobello,
Visiblement, tu as du mal à faire le deuil de ton mariage, je comprends & je compatis... Difficile d’accepter que quelqu’un qu’on croit connaître succombe aussi vite aux charmes de sa copine précepteur pour tomber amoureuse de GopalaChari ! Il est décidément très fort…
Les abhyasis sont insensibles à la raison, ils ne succomberont pas plus à ton lyrisme (assez soporifique), faut pas rêver ! Tu ne convaincras personne hormis les convaincus.
Alors autant témoigner de ton histoire, du détachement de ta compagne jusqu’à son envol vers l’Inde et son Gopala… Avec des mots simples, des phrases simples, tu pourrais intéresser ceux qui s’interrogent sur le Sahaj marg et la malfaisance de son gourou.
Si tu veux bien, alors merci
Alexis

Anonyme a dit…

Bonjour, Alexis.

"Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre etc." : je fais ce que je peux de ce que je suis.

Tes tentations à cet égard ne sont pas les miennes, faut-il que j'en change pour te convenir ?
Comme je ne dessine pas de BD, j'écris pour qui lit avec intérêt ce que je raconte : il y en a quelquefois, je t'assure...

Tes mots et tes phrases ne sont pas les miens ? Vu d'ici, c'est plutôt une chance : j'ai écrit récemment à une amie que s'il se trouvait UNE personne tentée par les chuchotements sournois de Gopalachari qui renonce à s'y livrer parce que le blog d'Élodie héberge nos indignations si "singulières", personne n'y aura perdu son temps.
Je suppose que c'est aussi ton avis.

Cordialement

4d-Don a dit…

Nobello...

Je suis d'accord avec Alexis...

Simplifie ton style, SVP, ... et choisis des mots simples. (si tu te serts d'expression locales, il faut nous explique ce que ça veut dire. Je suis Acadien Français (Canada) et j'ai du mal à comprendre tes commentaires. Ceux qui ne sont pas Français et qui lisent les blog d'Élodie (comme moi), se servent du service rudimentaire de traduction par "google" et plusieurs de tes "tour de phrases" sont du colloquialisme et sont du Français d'Europe ...

Et pas si long !!! SVP!!

(la traduction prend bien du temps à comprendre aussi...)

Merci ... et je compati.

Don

4d-Don a dit…

Salut Elodie et Alexis, et toutes et tous...

J'ai reçu ce commentaire à ma traduction de cet article d'Alexis, posté sur ton blog sous le nom:

Effectifs ... L'intox Était Collosale

Traduction sur mon blog:

http://4d-don.blogspot.ca/2012/10/sahaj-margtm-membership-hoax-was.html


Blogger 4d-Don said...


Hi all ...


Received this as a "comment" to my translation of this article by Alexis posted on Elodie's blog in Europe: Pour Que Vive Le Sahaj Marg:

http://4d-don.blogspot.ca/2012/10/sahaj-margtm-membership-hoax-was.html


Garima Srivastava said...

The Sahaj Marg is a criminal gang led by Chari and Co. I know young boys and girls who have been hypnotised by this gang into believing that their parents are evil, that they are the 'chosen ones' who will save the world(From who may I know?!)and that they will attain salvation with unconditional obedience to the master. They have a criminal history of forgery, money laundering, sexual abuse of female relatives of abhyasis, persecution of homosexuals and AIDS Patients, promoting suicidal and narcissistic tendencies in abhyasis, as well as violence on and intimidation of dissenters...


Males and females with sadistic tendencies who are morally and emotionally weak naturally gravitate to this gang of criminals , so yes it is indeed the 'natural path' for natural fools...all big time chootiyas are in the service of this group of criminals. They think spirituality comes cheap and easy... God is insulted every moment by such criminals and their zombie followers who do not even remain capable of normal human reactions after becoming servants of these criminals...


The good news is that a panel of lawyers from the Supreme Court has already started digging out the criminal records of Chari and gang. Foreign governments and law enforcement authorities will be alerted and police will crack down on these criminal outfits masquerading as spiritual leaders...the bastards are ruining families all over the world...they will go to hell...


Thursday, February 07, 2013 10:30:00 AM

Elodie a dit…

Bonjour à toutes et tous,
Nobello a une autre façon d'écrire, il attirera peut-être un public que nous n'arrivons pas à toucher.
Cependant, l'idée d'Alexis de faire simplement témoigner Nobello de ce qu'il a vécu est intéressante, si Nobello le veut bien.
4d-Don,
Ce Garima Srivastava doit s'expliquer, sinon c'est de la diffamation pure et simple. J'espère qu'il le fera.
Bien affectueusement,
Elodie

Anonyme a dit…

Bonjour à tous,

Je suis un peu choqué des critiques formulées à l'encontre de Nobello.
Il exprime sa douleur avec les mots qui sont les siens, et à ce titre, mérite un peu plus de respect et de compassion.
Les victimes collatérales de la srcmTM sont nombreuses, mais trop rares sont celles qui osent venir témoigner sur ce blog parce que c'est difficile, douloureux...
Certes, Don a raison de signaler que le style "Nobello" passé au traducteur Google ça doit faire bizarre!
Je ne crois que ce blog puisse convaincre des abhyasis contaminés, mais les informer, les alerter,les inviter au questionnement,à la remise en cause peut en aider voire sauver quelques uns.
La contribution de Nobello est bienvenue.

Martin

Anonyme a dit…

Merci, Martin.

Alexis a dit…

Un WebSite pour Kasturi : Kasturi, une sainte Illuminée ?