La Shri Ram Chandra Mission n'est pas la seule organisation à proposer des méthodes de méditation. La transmission dont elle est si fière se traduit souvent par un asservissement qui fait perdre tout repère et isole inéluctablement l'individu de son environnement.
La Shri Ram Chandra Mission a été classée comme secte dans un rapport parlementaire français. Avant d'adhérer, informez vous !

439 articles – 3449 commentaires – Dernier ajout le 9/09/2017

“Take criticism seriously, without anger or sadness. Use it for correcting yourself, and welcome it.”
Kamlesh Patel (1/04/2015)

2 avril 2012

Une blogueuse à Manappakkam

ENGLISH TRANSLATION

Curry, Kulfi et Chapati


Déboires et aventures de deux expatriés quelque part au fin fond du continent Indien (et au bord de la piscine).

Extraits du blog http://www.currykulfietchapati.com/



J'ai visité une secte.

J'ai beau être athée, je suis intéressée par la découverte de toutes les religions, de près ou de loin. Il y a quelques semaines, je me suis retrouvée au cœur de ce qu'on nommerait en Europe "une secte" mais qui ici semble être accepté beaucoup plus communément. Loin d'être effrayée, je me suis rappelé ces propos de François Cavanna : "Une religion dite "universelle" n'est qu'une secte qui a réussi commercialement parlant."

Tout commença par un attrait que j'avais pour la méditation. Ayant découvert il y a six mois une technique de méditation centrée sur la respiration que je n'arrivais pas à exercer toute seule, j'avais très envie de trouver un maître spirituel qui pourrait m'initier aux mystères de l'étude de mon karma.

Quel ne fut pas mon bonheur en découvrant dans la meilleure amie de mon beau-frère qui se trouvait par un heureux hasard séjourner en Inde à ce moment là, une initiée aux pratiques du Sahaj Marg ! Evidemment, je ne savais pas du tout ce qu'était le Sahaj Marg, appelée aussi Shri Ram Chandra Mission, et encore aujourd'hui je me trompe régulièrement sur l'orthographe de ces deux noms.

La copine du beau-frère, elle non plus, ne savait pas trop ce que c'était, à part qu'elle s'exerçait tous les matins à la pratique de la méditation et que cela lui faisait beaucoup de bien.

Un matin, donc, nous nous rendîmes en rickshaw au plus grand Ashram de cette organisation. C'était un havre de paix au cœur du tumulte de la ville. Moi qui ne connaissais de Chennai que bruit, pollution, voiture, vaches et mendiants, j'étais fort surprise de découvrir un lieu si silencieux, si paisible, si agréable, si herborisé, et si sympathique.

L'Ashram fait d'abord penser à un très grand parc. Au centre, on y trouve un genre de temple où les gens vont méditer. Pas de statues, ni d'objet de prière, rien de religieux mais juste une petite estrade pour que le maître vienne officier de temps en temps et un très grand espace vide pour que les fidèles puissent se réunir. De nombreuses chaises sont laissées à leur disposition. En pénétrant dans ce sanctuaire pour la première fois, le néophyte est d'abord fort étonné de la quiétude qui y règne. Cette sensation de paix inhabituelle s'explique par le silence qui est imposé aux initiés. Sans être un expert en l'art de cet exercice, il est à peu près évident pour tout le monde que le méditant s'assoit, ferme les yeux et se tait. Je me soumettais donc aux règles de ce lieux, m'adonnant pour une rare fois dans ma vie à une activité qui eut fait le bonheur de mon mari chéri s'il avait été avec nous ce jour-la : je me taisais.

Et nous passâmes en silence devant ce petit temple de quiétude pour nous rendre dans un autre endroit non moins intéressant quoiqu'un peu plus bruyant : la cafétéria.

La cafétéria est un lieu fort sympathique où l'on croise à peu près toutes les nations. L'Ashram Babuji est le plus grand centre du sahaj Marg et de nombreux fidèles, d'Inde et d'ailleurs viennent s'y recueillir. J'y rencontrais deux Françaises qui avaient chacune tout laissé derrière elles pour venir s'installer ici, la première par amour pour l'Ashram et la seconde pour un poste d'enseignante qu'elle n'avait jamais quitté, s'étant mariée à l'issu de son année de contrat, avec un Indien.

Un peu plus loin je visitais la bibliothèque, qui ne contenait que des ouvrages sur le Sahaj Marg, et je découvris qu'en plus du dortoir commun qui se trouvait sous le temple et dans lequel on pouvait séjourner gratuitement, à condition de faire partie de la mission, il y avait la possibilité de louer de petites chambres individuelles plus confortables.

Chacun des lieux que je visitais était tenu par des bénévoles. Personne n'est payé pour travailler ici, ce qui explique que les chambres ne soient pas chères. Il y en a qui cuisinent, qui servent le café, qui font la vaisselle, qui gèrent la bibliothèque, qui s'occupent des inscriptions...

A première vue, l'Ashram est un microcosme utopique où tout le monde est heureux, tout le monde est gentil, tout le monde s'aime. Les initiés s'appellent "frère" ou "sœur" pour symboliser la belle fraternité qui y règne.

Ce qui m'a inquiétée fut la manière dont ils parlaient de leur maître spirituel Chariji.

J'ai été très profondément choquée par des phrases comme "Le maître a une maison de campagne" ou "Tu connais le plus beau quartier de Chennai ? Le maître a une maison là-bas aussi."

Il semble que le maître ait une sacrée quantité de résidences secondaires !

Et puis, lorsque j'ai visité la bibliothèque, je n'ai pas pu résister au feuilletage de quelques ouvrages sur les pratiques du Sahaj Marg. Il y en a trois : le matin, il faut méditer une heure. Le soir, il faut pratiquer une autre forme de méditation qu'on appelle le "cleaning". Il s'agit de se nettoyer des émotions de la journée. Avant de se coucher, il faut réciter sa prière au maître et là, je suis carrément horrifiée de découvrir que le texte fait l'apothéose du maître !

Et puis, c'est quoi cette habitude de l'appeler "maître"... Le "maître spirituel", on comprend, mais le "maître", tout seul, sans adjectif, ça fait un peu esclave, non ?

Je quittai donc l'Ashram, non sans avoir récupéré le téléphone d'une des sœurs dans l'espoir d'être initiée à la méditation. Car secte ou non, j'avais des choses à apprendre de ces méditants et j'avais la sensation que les mystère impénétrables de la méditation pouvaient m'apporter une forme de quiétude.



A la découverte de la méditation

Après avoir découvert le Sahaj Marg et sans savoir encore ce que c'était, je voulus absolument être initiée aux mystères étranges de la méditation.

Je contactai donc une charmante jeune femme anglaise, mariée avec un Indien, qui accepta avec beaucoup d'enthousiasme de procéder à mon initiation et me donna rendez-vous pour trois "sitting", c'est à dire pour trois séances. Il fallait qu'elles aient lieu trois jours de suite pour être efficace.

J'étais donc ravie et j'allais la joie dans le cœur à mon rendez-vous dans l'Ashram.

Hélas, cette joie fut de courte durée. A peine arrivée, les gardes refusèrent de me laisser entrer et il me fallut attendre quarante-cinq longues minutes pour que mon initiatrice qui était en retard vienne me chercher.

J'appris que pour pouvoir entrer dans ce lieu pacifique, il me fallait montrer patte blanche et surtout prouver mon appartenance à la Babuji fan club avec une carte de membre. Cette même carte de membre ne me serait donnée qu'après mes trois sitting.

Nous nous rendîmes dans un lieu de silence totale. Seuls quelques oiseaux venaient rompre la quiétude de leur chant léger. Leur soprano était accompagné comme d'une basse par le grésillement insupportable des moustiques mais rien ne pouvait altérer ce jour-là notre bonne humeur.

Nous nous assîmes l'une en face de l'autre et elle m'expliqua ce que je devais faire, à savoir pas grand chose. Il me fallait fermer les yeux et chercher ce qu'il y a de divin au fond de moi en laissant passer les pensées inopportunes comme des invités dont on ne veut pas mais qu'on ne peut pas repousser trop durement. La métaphore qu'elle utilisa fut celle des enfants dans un parc.

"Si tu dois traverser un parc, me dit-elle, et qu'il y a des enfants, tu ne va pas les chasser ! Tu vas traverser en passant à côté. Hé bien tu fais la même chose avec tes pensées."

Nous fûmes donc assises pendant une demie heure l'une en face de l'autre, les yeux fermées, à chercher l'esprit saint. Pour cette première fois, je jouais le jeu jusqu'au bout et je cherchais "quelque chose de divin" que je ne trouvais pas. En revanche, j'apprenais à ignorer mes pensées. Je restais philosophe : une demie heure, c'était bien long. Autant oublier le temps qui passe et tenter de me concentrer sur moi-même.

A la fin de la séance, j'étais détendue et je me sentais apaisée.

Le soir-même, je décidai de faire une recherche sur l'Ashram et je découvris avec une certaine crainte qu'il était considéré comme une secte. J'avais déjà été inquiétée par certaines paroles entendues dans le temple mais après mes lectures, je devenais franchement méfiante.

Le lendemain, nous fîmes la même expérience. Cette fois-ci, je changeais de technique. La peur de me faire lobotomiser le cerveau par un procédé de méditation fort efficace me fit remplacer la recherche du divin que de toute façon je ne trouvais pas par une concentration sur ma respiration.

La conséquence fut identique à la veille : je me sentais bien, détendue et reposée.

Je constatai que ce qui était commun à ces techniques de respiration/méditation était leur capacité à nous faire lâcher prise en nous concentrant sur nous-même que ce soit sur notre sainteté ou sur notre respiration.

Le troisième jour fut identique à ceci près que mon rendez-vous avait lieu à sept heures du matin. J'arrivai dans un état fatigue tel que je fus incapable de pratiquer l'exercice correctement.

Enfin, mon initiatrice me convia au grand évènement de la semaine : la méditation du dimanche. Je devais être sur place à 7h30 pour voir le maître et ressentir l'engouement collectif. J'y allais et je pratiquais la méditation pour la première fois en groupe, accompagnée d'une centaine de personne. La séance dura une heure, ce qui me parut fort long, et fut suivie d'un discours prononcé en Anglais avec un magnifique accent indien qui le rendait incompréhensible pour les Anglais eux-mêmes. Cette fois-ci, j'eus vraiment la sensation de ne pas être à ma place.

Qu'est ce qui avait bien pu me passer par la tête pour me faire lever à 6h un dimanche afin d'aller jouer la fervente religieuse dans un temple de Babuji ? Simple curiosité, peut-être un peu mal placé.

A la suite de cette séance de sieste collective inconfortable, je rencontrais d'autres frères et sœurs. Certains me proposèrent de les rejoindre pour d'autre sitting de groupe. J'acceptais, le sourire aux lèvres, je promettais de revenir en croisant les doigts et je partis finalement pour retrouver le lieu familier que je n'aurais jamais dû quitter sitôt un dimanche matin, à savoir mon lit douillet.

Depuis, je reçus quelques messages auxquels je n'ai pas donné suite. Les personnes que j'ai rencontrées étaient vraiment très sympathiques et j'aurais souhaité pouvoir les revoir mais je ne peux définitivement pas me résoudre à chercher le divin qui sommeille au fond de moi.

Cette expérience m'a néanmoins permis de me familiariser avec la respiration en pleine conscience que je n'avais jamais réussi à pratiquer seule auparavant.

C'est une technique qui paraît difficile au départ mais qui apporte beaucoup en terme d'apaisement lorsqu'elle est bien pratiquée. Il suffit de s’asseoir, se détendre, et de laisser les pensées qui se présentent de côté en reportant toujours son attention sur sa respiration. De ce que j'en ai vu, il me semble que le seul fait d'accepter de laisser son quotidien pendant une demie heure pour se détendre en ne faisant rien est un grand pas vers le bien-être.

6 commentaires:

4d-Don a dit…

Merci Elodie...

Il me semble cette dame a dû lire ton blog ou les blogs d'Alexis ...

Le "divin" que plusieurs cherchent est "en vérité" PARTOUT (UN, TOUT), en tout temps et en tout locale ... on a pas à LE/LA trouver, mais à LE/LA REALIZER ...

En placant le Maitre dans la position de DIEU, le Divin du Sahaj Marg (tm) de Chari devient "masculin", parce que les femmes de peuvent pas être "maitre" au Sahaj Marg(tm) ... C'est ça leurs: droits de la femme.

De la fausse théologie sectaire...

Aussi, au Sahaj Marg(tm) de Chari, ("tm" = pour le commerce) les homosexuels ne sont "pas naturels", et ceux qui essayent de les aider (tel le Pape, qui prie pour leurs souffrances, et Bill Gates de Microsoft qui aide les affligés du SIDA en Afrique avec son argent), sont catégorisés de "morally degraded".

C'est ça leurs AMOUR!!...

Ensuite on peut regarder les attaquent sur les ancients précepteurs de Babuji et les attaques sur sa famille (ses enfants (Umesh) et petits enfants (Navneet, Puneet), afin de s'emparer des Ashrams par la force ... (Voire les photos et les journaux Indiens en-line)

AMOUR??

Don...

Elodie a dit…

fab a ajouté un nouveau commentaire sur votre message "Même l'Amour n'y peut rien !" :

J'ai beaucoup de compassion pour ces gens qui ont souffert. Mais, il faut bien comprendre que le sahaj marg est une voie spirituelle non pas pour "faire" et y consacrer de plus en plus de temps comme une entreprise qui dévorerait le temps de ses ouvriers au détriment de la vie de famille et des activités nécessaires à l'épanouissement de l'humain. C'est la mauvaise compréhension du Sahaj marg qui génère toutes ces dérives et ces souffrances pour les adeptes, leur conjoints et les familles. Bien compris, le Sahaj marg est une pratique de devenir. commnet me déprogrammer de mes conditionnements, mes croyances, préjugés, etc, etc .. pour devenir un vrai être humain de plus en plus conscient de ses fonctionnements, de ses choix, en mettant au coeur de ses préoccupation l'Amour des autres, l'attention pour les autres que cet Amour requiert, le respect de toutes vie, la patience, et (très important) le respect de ses limites et de celles des autres. Il est dommage que le Sahaj marg soit si mal compris et souvent mal pratiqué dans sa philosophie et les implications dans la relation à l'autre. autrement dit, à quoi me sert le sahaj Marg si je ne devient pas meilleur chaque jours. je pratique cette voie depuis maintenant 15 ans. je sais de quoi je parle. le chemin peut être plaisant par moment, mais jamais au détriment de l’honnêteté de s'observer pour voir réellement, avec lucidité et sens critique, ce que nous sommes avec notre part d'ombre et de lumière. C'est là que nous sommes attendu, au rendez-vous avec nous même. Il est facile de rejeter le système et de le condamner sans se regarder soi-même avec rigueur et compassion.

Elodie a dit…

Bonjour fab,
Il semble que le Sahaj Marg soit bien compliqué : quand on sait bien s'en servir c'est merveilleux, sinon on souffre.
Dommage que les précepteurs ne soient pas à même de nous éviter autant de souffrances. Si les guides ne sont pas bons, il vaudrait peut-être mieux interdire cette méthode qui s'avère si dangereuse.
Bien affectueusement,
Elodie

4d-Don a dit…

Salut Fab...

Tu dis: "...le Sahaj marg est une pratique de devenir. commnet me déprogrammer de mes conditionnements, mes croyances, préjugés, etc, etc ..

Mais, comment se "deprogrammer" si le nouveau "programme" que les abhyasis acceptent, est celui des racistes (Babuji et Chari), homophobes (Chari)... Le programme des matérialistes la "droite" aux Indes est le même des "businessmen" matérialistes de la droite Européenne et/ou de l'Amérique.

La fausse théologie du Sahaj Marg(tm), qui fait du Divin un être masculin et qui ne permet pas aux femmes de devenir MAITRE (président) au Sahaj Marg(tm), n'est plus acceptée en "occident", même par la droite extrême ...

Les homosexuels ne sont pas "un-natural" comme dit Chari ... Et Babuji qui choisit une épouse pour son fils Umesh selon: " cut, height, skin complexion...", n'est pas un "nouveau" programme, ni un programme "spirituel", et ni un programme d'amour envers son prochain.

Le pape qui offre un prière pour ceux qui souffrent du SIDA, et Bill Gates qui donne de son argent afin d'améliorer le sort (la vraie "vie") de ceux qui souffrent du SIDA en Afrique, ne sont pas examples de: "moral degradation"... Ils sont plus un example de l'amour qui semble absent au Sahaj Marg(tm)... (tm=pour le commerce).

Le Sahaj Marg(tm) est un autre example d'hypocrisie qu'on voit chez les religions. Ils s'attaquent les uns les autres et s'enrichissent au depens des plus pauvres de leurs pays, et des plus naifs des autre pays et cultures.

Si c'est ça, ton "nouveau programme", ce n'est pas très SPIRITUEL ni "nouveau". Vous vous faites programmer avec un programme qui uni même pas la famille du fondateur, les ancients amis de Babuji (Dr. KC Varadachari, le philosophe), les ancients précepteurs, préfets, etc...)

Mais, il y a beaucoup d'argent qui vient des businessmen "nouveau riches" ... Le Maitres a plusieurs "cottages" et le fils du Maitre a plusieurs maisons à vendre ou à louer autour des Ashrams, selon les rapports de certains ex-abhyasis. Et Santosh?... Il a ses hôtels et ses restaurants dans la region de Austin au Texas, USA .... Et le successeur de Chari, a ses "drogues", a exporter des Indes et les répandre autour du monde (comme leur spiritualisme??) ... Santosh vous (les pauvres? les moins riches??) fait-ils un bon prix sur le loger et le manger?? Je n'y croit pas!! C'est ca leurs programme des businessmen nationaliste, raciste, homophobe, de l'orient ... pas mieux que les matérialistes de l'occident.

Et vous, vous les aidez, avec l'argent que vous pouvez donner aux pauvres DIRECTEMENT... Mais ils vous promettent le SALUT et alors, vous achetez ...

Vous changez vos croyances de UN aux AUTRES!! Maintenant, vous pouvez, dans vos illusions et vos fantaisies vous croire de "vraie êtres humains" mais vous êtes les mêmes êtres qu'avant!!

Maintenant, comme vos maitres, vous êtes peut-être plus arrogant(e)s et plus épaté(e)s par la brillance des Ashrams (les lions en or, le béton et la pierre)... de la matière. Et la souffrance de vos "frères et soeurs"?

Et l'environement que vous laissez aux générations futures?... Votre (et le Sahaj Marg(tm)) "carbon footprint"?? C'est pour les autres !!!

Maintenant, vous vous pensez "Sauvées" et il y aura toujours les pauvres et ceux qui sont souffrants ... ce n'est pas votre responsabilité!!

Et votre AMOUR!! C'est pour vous-même, et pour la reflection dans votre miroire!! C'est pour vos nouveaux: "frères et soueurs" matérialistes, racistes, homophobes de l'orient... Selon vous, nous en Occident, nous sommes tous "matérialistes" et eux, en Orient, ils sont tous: SPIRITUALISTES ... pas Spirituel ...

Don...

4d-Don a dit…

Elodie...

J'ai reçu ce message sur mon blog: "Sahaj Marg is in mourning" (qui est une traduction de ton blog: "Le Sahaj Marg est en deuil", concernant le décès de Kasturi) ...

Ce message est dans les commentaires, à cette addresse:

http://4d-don.blogspot.ca/2012/02/sahaj-marg-is-in-mourning.html

Anjaana Rahi said...

It is indeed sad that she has left her physical form, However the real Sahaj Marg hasn't disappeared with her. She made it a point to help us know who Babuji is and his Sahaj Marg and his Mission/Sankalp.


Mon Apr 16, 11:44:00 AM

Don...

Alexis a dit…

Lilian Silburn (1908-1993) aurait été l'élève française de Radha Mohan Lalji (neveu de Lalaji), au même titre que Irina Tweedie, d’après un informateur anonyme.
Je vous livre au dessous le résultat rapide de mes recherches web sur cette personnalité qui aurait diffusé cet enseignement soufi dans l'ouest de Paris, sous le nom de "Courant de félicité et d'amour". Mais cette chercheuse du CNRS semble cependant avoir eu bien d'autres maîtres encore...
http://sahajmargetshriramchandramission.blogspot.fr/2012/04/lilian-silburn.html