pour connaitre le sahaj marg depuis bien jeune et ne pas en faire partie et regarder cela d'un oeil extérieur...vous y trouverez toujours des prédicateurs dans chaque groupe, vous trouverez aussi toujours ceux qui adorent être des moutons...le sahaj marg n'est pas une religion c'est uen voie spirituelle et comme toutes celles d'entre elles elle ne regarde que vous...vous n'êtes pas obligés d'écouter Chari ni les précepteurs... faites ce que vous avez à faire, continuez à vous ouvrir, il n'y a pas q'une voie mais DES voies.... le sahaj marg n'est pas la plus rapide ou la meilleure elle est une parmi d'autres.
La seule chose que j'ai constatée en fréquentant les abhyasis (ceux qui pratiquent) c'est que ceux qui grognent le plus étaient souvent les plus extrémistes (végétarisme, lecture des livres, discours "spirituels" etc....) ceux qui avaient le plus grandement besoin d'un bâton "spirituel" parce qu'ils fuyaient le temporel.
Comme toute chose, la rapidité de la dispersion de l'information permet de faire dire tout et n'importe quoi et les gens perdent de vue que le Sens d'un texte est en partie aussi issu de celui qui le lit ou l'écoute.
Si chacun pouvait écouter son coeur et faire comme il le ressent à chaque instant présent on éviterait les dérives et on éviterait de dire que les dérives sont la responsabilité des autres..
Nous sommes nos propres dérives.
Quand à la médium si vous ne la connaissez pas, la plupart des textes sont issus de ses propres convictions.
Vous oubliez peut être que le monde change, à chaque instant et qu'effectivement les whispers sont décalés... certains textes sont issus de 2002 ... nous sommes en 2012
peut etre est ce la le principal ecueil de ces textes
Quand à dire qu'ils coutent chers à acheter, vous n'etes pas obligés et ils ne sont pas nécessaires à une quelconque évolution spirituelle.
Nous sommes dans le temporel et l'argent est un moyen dont chaque organisation a besoin.
Il me semble qu'à l'époque pour avor suivi ca de très trsè loin Chari ne s'en était pas caché qu'il avait besoin d'argent...
eh oui.. nous sommes aujourd'hui encore dans une énergie où nous avons besoin de ce moyen là.
Apres si ca ne convient pas vous n'achetez pas.
Si personne n'avait acheté il n'y aurait pas eu de problème
NOUS SOMMES RESPONSABLE AUSSI DE CE QUE NOUS FAISONS....
mais dans la mission il y a aussi de drôles de loustics qui ne représentent pas la masse des personnes... aps de mélange je trouve...
Allez pêcher ailleurs et vous verrez certains discours ou pratiques sous un angle différent de ce que vous avez cru jusqu'à présent... et vous verrez aussi que peut etre Chari n'est pas un "guide" qui va expliquer...
si vous avez besoin d'un guide comme moi, c'est pas au sahaj marg...
prenez la responsabilité que ce n'st pas qqchose qui vous convienne c'est tout...mais projeter ne sert à rien et discuter non plus ^^
Anonyme
8 commentaires:
Bonjour Anonyme,
"...vous n'êtes pas obligés d'écouter Chari ni les précepteurs..."
Que reste-t-il alors ?
Bien affectueusement,
Elodie
Salut Anonyme...
Bon... un autre qui dit: "mais projeter ne sert à rien et discuter non plus", et qui ensuite, projette et discute ...
Ah! les religieux ...
Ensuite tu dis:
...le Sahaj Marg n'est pas une religion c'est une voie spirituelle et comme toutes celles d'entre elles, elle ne regarde que vous...vous n'êtes pas obligés d'écouter Chari ni les précepteurs.
Selon le fondateur, dans son JOURNAL, qui est publié par la Mission (Autobiography of Ram Chandra), le Sahaj Marga est appellé dans son "inter-communication" avec Swami Vivekananda: une "Nouvelle religion". Alors c'est eux (le fondateur), qui appellent le Sahaj Marg une "religion" pas seulement nous ... C'est ensuite Chari qui l'a changé ... il a aussi changé sa définition (dans le journal de Babuji) de: "voie facile" à "voie Naturelle" ... C'est probablement pour le "Marketing"... Plusieurs produits matériels veulent être appelés "Naturel", et toutes religions veulent être "spirituel(le)" ...
Ensuite, quand Chari attaquent les "homosexuels" ils les appèlent: "un-natural" ... ou: "pas Naturel"... Quand nous, les membres des familles divisées de ses "moutons", ne sommes pas d'accord avec lui, il nous appelent les: "enemis de la spiritualité" ... C'est ça sa: spiritualité!!
Son argent, ça lui vient des businessmen "nationalistes", à qui il vend des "titres", soit dans son: Sahaj Marg Sprituality Foundation (SMSF), qui contrôle tout le "matériel" de la Mission (SRCM California-1997) ... La société à non-profit (SRCM) ne contrôle rien ... ou, il donne (vend?) des titres de préfet ou de précepteur, qui ensuite transmettent leur SPIRITUEL à la Sahaj Marg(tm)??? aux "moutons".
Dans leurs rêves!!!
Ils transmettent leur corruption bien "matérielle" ... comme le disent plusieur de ses "moutons", quand ils se réveillent finalement...
Nous sommes ici commes des journalistes, qui donnent l'alerte a TOUS... et comme journalistes, nous sommes nécessaires à la démocracie, afin de protéger la LIBERTÉ de TOUS.
Cherchez le SPIRITUEL dans votre ÊTRE, pas dans les structures, les "party de fêtes" (bhandaras), et les rituels des matérialistes ...
Ce n'est pas ceux (comme les pharisiens juifs de jadis) qui prient: "Dieu, Dieu", qui entrent au Paradis, mais ceux qui font la volonté de ce DIEU!!
Et le message divin, selon Jésus de Nazareth, est écrit partout, y inclu dans notre ÊTRE ... pas seulement dans le "coeur", la pompe pour le sang ni seulement dans le cerveau (le centre nerveux) ...
Salut ...
Don
Salut à toutes et tous...
Voici un autre commentaire anonyme que j'ai reçu sur mon blog: "Our World From Another Dimension".. (voire dans les commentaires)
http://4d-don.blogspot.ca/2012/03/what-they-say-about-chari-and-his-sahaj.html
Here is a comment from Delhi, India, to an article on this blog, dated Jan. 18, 2008 called: "SRCM Myth Begets Other Myths"
http://4d-don.blogspot.ca/2008/01/srcm-myth-begets-other-myths.html?showComment=1332273063964#c8252429942795854250
Although this comment is sent "anonymously" from IPS# 117.197.171.#, (NIB-National Internet Backbone), the author names members of his family, one of whom is allegedly a preceptor of Sahaj Marg.
Anonymous said...
respected sir,
I reside in jalandhar. My father Col. K.P. Jauhar has been a follower of your mission since a really long time. He is a retired army officer. He is a preceptor too. I am not a very firm believer of your organisation although i respect the preachings of Swami vivekananda a lot while my father is not just a firm believer but a fanatic of your organisation. I wanted to ask you simple questions.This is not in context of going against my father. I obviously love him and respect him a lot. But his attitude makes me doubt towars the preachings of the master whosoever is right now (again no disrespect intended cause i know very little of your organisation). questions are as follows-
1) does your organisation teach the preceptors to abuse their wives and their children? if yes why? and if no then what is the criteria of selection for the preceptors?
2) does your institution teach the people how to abuse their elders? ( here my maternal grandparents are concerned.)
3) does your institution teach how to point out the failures in other people's life? (concerns me cause once i could not do well in a subject and flunked an exam but i tried again without my fathers support cause of the constant nagging he did till my second attempt and then topped the exam)
4) does your institution teach how to demean people who are less fortunate and poorer or of low caste than you are.(concerning the people who work at our place)
5) does your institution instill how to demean/ disrespect people who worship god and their methods of praying.( concerning my mother who has to listen to my father who keeps saying that whatever her methods are for praying to God are worthless but still she keeps quite cause she wants peace at home)
If answers to any of my above questions is true then i would like to protest against your institution, and if no then i would like you to speak to my father directly about these concerns cause no matter how much meditation you people do there is no effect on him atleast and i do not think he is fit enough to preach meditation methods to others..
Thanking you,
your's faithfully
Tue Mar 20, 12:51:00 PM
- Le Sahaj marg, un concept terriblement évolutif
- Les personnalités du Sahaj marg
Curry, Kulfi et Chapati
Déboires et aventures de deux expatriés quelque part au fin fond du continent Indien (et au bord de la piscine).
www.currykulfietchapati.com
J'ai visité une secte.
J'ai beau être athée, je suis intéressée par la découverte de toutes les religions, de près ou de loin. Il y a quelques semaines, je me suis retrouvée au cœur de ce qu'on nommerait en Europe "une secte" mais qui ici semble être accepté beaucoup plus communément. Loin d'être effrayée, je me suis rappelé ces propos de François Cavanna : "Une religion dite "universelle" n'est qu'une secte qui a réussi commercialement parlant."
Tout commença par un attrait que j'avais pour la méditation. Ayant découvert il y a six mois une technique de méditation centrée sur la respiration que je n'arrivais pas à exercer toute seule, j'avais très envie de trouver un maître spirituel qui pourrait m'initier aux mystères de l'étude de mon karma.
Quel ne fut pas mon bonheur en découvrant dans la meilleure amie de mon beau-frère qui se trouvait par un heureux hasard séjourner en Inde à ce moment là, une initiée aux pratiques du Sahaj Marg ! Evidemment, je ne savais pas du tout ce qu'était le Sahaj Marg, appelée aussi Shri Ram Chandra Mission, et encore aujourd'hui je me trompe régulièrement sur l'orthographe de ces deux noms.
La copine du beau-frère, elle non plus, ne savait pas trop ce que c'était, à part qu'elle s'exerçait tous les matins à la pratique de la méditation et que cela lui faisait beaucoup de bien.
Un matin, donc, nous nous rendîmes en rickshaw au plus grand Ashram de cette organisation. C'était un havre de paix au cœur du tumulte de la ville. Moi qui ne connaissais de Chennai que bruit, pollution, voiture, vaches et mendiants, j'étais fort surprise de découvrir un lieu si silencieux, si paisible, si agréable, si herborisé, et si sympathique.
L'Ashram fait d'abord penser à un très grand parc. Au centre, on y trouve un genre de temple où les gens vont méditer. Pas de statues, ni d'objet de prière, rien de religieux mais juste une petite estrade pour que le maître vienne officier de temps en temps et un très grand espace vide pour que les fidèles puissent se réunir. De nombreuses chaises sont laissées à leur disposition. En pénétrant dans ce sanctuaire pour la première fois, le néophyte est d'abord fort étonné de la quiétude qui y règne. Cette sensation de paix inhabituelle s'explique par le silence qui est imposé aux initiés. Sans être un expert en l'art de cet exercice, il est à peu près évident pour tout le monde que le méditant s'assoit, ferme les yeux et se tait. Je me soumettais donc aux règles de ce lieux, m'adonnant pour une rare fois dans ma vie à une activité qui eut fait le bonheur de mon mari chéri s'il avait été avec nous ce jour-la : je me taisais.
Et nous passâmes en silence devant ce petit temple de quiétude pour nous rendre dans un autre endroit non moins intéressant quoiqu'un peu plus bruyant : la cafétéria.
La cafétéria est un lieu fort sympathique où l'on croise à peu près toutes les nations. L'Ashram Babuji est le plus grand centre du sahaj Marg et de nombreux fidèles, d'Inde et d'ailleurs viennent s'y recueillir. J'y rencontrais deux Françaises qui avaient chacune tout laissé derrière elles pour venir s'installer ici, la première par amour pour l'Ashram et la seconde pour un poste d'enseignante qu'elle n'avait jamais quitté, s'étant mariée à l'issu de son année de contrat, avec un Indien.
Un peu plus loin je visitais la bibliothèque, qui ne contenait que des ouvrages sur le Sahaj Marg, et je découvris qu'en plus du dortoir commun qui se trouvait sous le temple et dans lequel on pouvait séjourner gratuitement, à condition de faire partie de la mission, il y avait la possibilité de louer de petites chambres individuelles plus confortables.
Chacun des lieux que je visitais était tenu par des bénévoles. Personne n'est payé pour travailler ici, ce qui explique que les chambres ne soient pas chères. Il y en a qui cuisinent, qui servent le café, qui font la vaisselle, qui gèrent la bibliothèque, qui s'occupent des inscriptions...
A première vue, l'Ashram est un microcosme utopique où tout le monde est heureux, tout le monde est gentil, tout le monde s'aime. Les initiés s'appellent "frère" ou "sœur" pour symboliser la belle fraternité qui y règne.
Ce qui m'a inquiétée fut la manière dont ils parlaient de leur maître spirituel Chariji.
J'ai été très profondément choquée par des phrases comme "Le maître a une maison de campagne" ou "Tu connais le plus beau quartier de Chennai ? Le maître a une maison là-bas aussi."
Il semble que le maître ait une sacrée quantité de résidences secondaires !
Et puis, lorsque j'ai visité la bibliothèque, je n'ai pas pu résister au feuilletage de quelques ouvrages sur les pratiques du Sahaj Marg. Il y en a trois : le matin, il faut méditer une heure. Le soir, il faut pratiquer une autre forme de méditation qu'on appelle le "cleaning". Il s'agit de se nettoyer des émotions de la journée. Avant de se coucher, il faut réciter sa prière au maître et là, je suis carrément horrifiée de découvrir que le texte fait l'apothéose du maître !
Et puis, c'est quoi cette habitude de l'appeler "maître"... Le "maître spirituel", on comprend, mais le "maître", tout seul, sans adjectif, ça fait un peu esclave, non ?
Je quittai donc l'Ashram, non sans avoir récupéré le téléphone d'une des sœurs dans l'espoir d'être initiée à la méditation. Car secte ou non, j'avais des choses à apprendre de ces méditants et j'avais la sensation que les mystère impénétrables de la méditation pouvaient m'apporter une forme de quiétude.
A la découverte de la méditation
Après avoir découvert le Sahaj Marg et sans savoir encore ce que c'était, je voulus absolument être initiée aux mystères étranges de la méditation.
Je contactai donc une charmante jeune femme anglaise, mariée avec un Indien, qui accepta avec beaucoup d'enthousiasme de procéder à mon initiation et me donna rendez-vous pour trois "sitting", c'est à dire pour trois séances. Il fallait qu'elles aient lieu trois jours de suite pour être efficace.
J'étais donc ravie et j'allais la joie dans le cœur à mon rendez-vous dans l'Ashram.
Hélas, cette joie fut de courte durée. A peine arrivée, les gardes refusèrent de me laisser entrer et il me fallut attendre quarante-cinq longues minutes pour que mon initiatrice qui était en retard vienne me chercher.
J'appris que pour pouvoir entrer dans ce lieu pacifique, il me fallait montrer patte blanche et surtout prouver mon appartenance à la Babuji fan club avec une carte de membre. Cette même carte de membre ne me serait donnée qu'après mes trois sitting.
Nous nous rendîmes dans un lieu de silence totale. Seuls quelques oiseaux venaient rompre la quiétude de leur chant léger. Leur soprano était accompagné comme d'une basse par le grésillement insupportable des moustiques mais rien ne pouvait altérer ce jour-là notre bonne humeur.
Nous nous assîmes l'une en face de l'autre et elle m'expliqua ce que je devais faire, à savoir pas grand chose. Il me fallait fermer les yeux et chercher ce qu'il y a de divin au fond de moi en laissant passer les pensées inopportunes comme des invités dont on ne veut pas mais qu'on ne peut pas repousser trop durement. La métaphore qu'elle utilisa fut celle des enfants dans un parc.
"Si tu dois traverser un parc, me dit-elle, et qu'il y a des enfants, tu ne va pas les chasser ! Tu vas traverser en passant à côté. Hé bien tu fais la même chose avec tes pensées."
Nous fûmes donc assises pendant une demie heure l'une en face de l'autre, les yeux fermées, à chercher l'esprit saint. Pour cette première fois, je jouais le jeu jusqu'au bout et je cherchais "quelque chose de divin" que je ne trouvais pas. En revanche, j'apprenais à ignorer mes pensées. Je restais philosophe : une demie heure, c'était bien long. Autant oublier le temps qui passe et tenter de me concentrer sur moi-même.
A la fin de la séance, j'étais détendue et je me sentais apaisée.
Le soir-même, je décidai de faire une recherche sur l'Ashram et je découvris avec une certaine crainte qu'il était considéré comme une secte. J'avais déjà été inquiétée par certaines paroles entendues dans le temple mais après mes lectures, je devenais franchement méfiante.
Le lendemain, nous fîmes la même expérience. Cette fois-ci, je changeais de technique. La peur de me faire lobotomiser le cerveau par un procédé de méditation fort efficace me fit remplacer la recherche du divin que de toute façon je ne trouvais pas par une concentration sur ma respiration.
La conséquence fut identique à la veille : je me sentais bien, détendue et reposée.
Je constatai que ce qui était commun à ces techniques de respiration/méditation était leur capacité à nous faire lâcher prise en nous concentrant sur nous-même que ce soit sur notre sainteté ou sur notre respiration.
Le troisième jour fut identique à ceci près que mon rendez-vous avait lieu à sept heures du matin. J'arrivai dans un état fatigue tel que je fus incapable de pratiquer l'exercice correctement.
Enfin, mon initiatrice me convia au grand évènement de la semaine : la méditation du dimanche. Je devais être sur place à 7h30 pour voir le maître et ressentir l'engouement collectif. J'y allais et je pratiquais la méditation pour la première fois en groupe, accompagnée d'une centaine de personne. La séance dura une heure, ce qui me parut fort long, et fut suivie d'un discours prononcé en Anglais avec un magnifique accent indien qui le rendait incompréhensible pour les Anglais eux-mêmes. Cette fois-ci, j'eus vraiment la sensation de ne pas être à ma place.
Qu'est ce qui avait bien pu me passer par la tête pour me faire lever à 6h un dimanche afin d'aller jouer la fervente religieuse dans un temple de Babuji ? Simple curiosité, peut-être un peu mal placé.
A la suite de cette séance de sieste collective inconfortable, je rencontrais d'autres frères et sœurs. Certains me proposèrent de les rejoindre pour d'autre sitting de groupe. J'acceptais, le sourire aux lèvres, je promettais de revenir en croisant les doigts et je partis finalement pour retrouver le lieu familier que je n'aurais jamais dû quitter sitôt un dimanche matin, à savoir mon lit douillet.
Depuis, je reçus quelques messages auxquels je n'ai pas donné suite. Les personnes que j'ai rencontrées étaient vraiment très sympathiques et j'aurais souhaité pouvoir les revoir mais je ne peux définitivement pas me résoudre à chercher le divin qui sommeille au fond de moi.
Cette expérience m'a néanmoins permis de me familiariser avec la respiration en pleine conscience que je n'avais jamais réussi à pratiquer seule auparavant.
C'est une technique qui paraît difficile au départ mais qui apporte beaucoup en terme d'apaisement lorsqu'elle est bien pratiquée. Il suffit de s’asseoir, se détendre, et de laisser les pensées qui se présentent de côté en reportant toujours son attention sur sa respiration. De ce que j'en ai vu, il me semble que le seul fait d'accepter de laisser son quotidien pendant une demie heure pour se détendre en ne faisant rien est un grand pas vers le bien-être.
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